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Aimant écrire et aimant rêver je vous fais partager une petite histoire que j'écris au fur et à mesure. Ce n'est pas de la "Grande écriture" mais je fais du mieux que je peux pour vous rendre une lécture agréable. Je voudrais vous donner l'envie de revenir sur cette page voir s'il y a des nouveaux chapitres. D'ailleurs je vais vous expliquer comment je fonctionne. J'écris petit a petit, je pense comme les plus grand auteurs d'ailleurs. Donc à chaque chapitre qui sera finis sur mon bloc-notes apparaîtra ici quelque jours plus tard. 

Bonne lecture. 

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Elle a les yeux émeraude si profonds que l’ont si perdrai. Etendu sur la banquette a coté de la mienne, elle attendait que les heures passent en soupirant tandis que sont regard fixé le plafond du train. Je la regarde de mon regard curieux en esquivant le sien. Elle me trouble je ne serais donner une explication a ça mais c’été bel et bien le cas. Peut-être que c’été dus a cette jupe en laine tissé de grosses maille épaisse de couleur rouge aussi vives que les aurore boréales les soirs d’hivers dans les pôles. Les lignes de ses jambes étés tellement délicates, elles devaient certainement être douces au touché. Après un court instant voila qu’elle ferma les yeux pour se laisser bercer par les balancements qui, en ce concentrant bien et en fessant jouer sont imagination donné l’impression d’être dans un l’un de ces paquebots qui t’emmène faire le tour du monde. J’en profite pour laisser quelques mots sur un petit cahier à spirales que j’emmène partout avec moi. Des lignes imprécise dus encore à ces balancement incessants qui leurs rendent l’âme d’un brouillon. Au fur et à mesure les mots s’enchaine sur ses feuilles, donnât des phrases, des paragraphes. Entre chaque ligne mon regard se perd à travers la vitre à la recherche de toutes formes d’inspiration. Au bout de mon regard il y a des arbres qui défilent à une vitesse folle des champs vastes a l’écart de toutes formes de civilisation. C’est dans cet instant que j’aperçois dans le reflet de cette même vitre que la femme à la jupe rouge et au regard émeraude regarda dans ma direction. Me regardait-elle ou regardai-elle tout simplement la même chose que moi ? Je ne bougeai pas d’un centimètre je scruté à travers sont reflet le moindre de ses gestes qui, pour le moment absent. Elle tourna le regard et moi aussi. Elle poursuit ses affaires et moi les miennes. Les heures passent et les kilomètres aussi, le trajet fus long et mes lignes si absente. Je finis par m’endormir avec en guise d’appuis tête la vitre dont un courant d’air longé ma nuque me rappelant le souffle du vent les soirs d’hiver. Je me réveil en surcot, j’étais arrivé à destination le train été déjà vide, la femme aux yeux émeraude et a la jupe rouge n’était déjà plus la. Je m’en voulais je n’ais pas vus ou elle était descendu. Toute la semaine, en fermant mes yeux je ne voilais que  sont regard et sa jupe rouge fixant un point dont je ne connaissais pas l’emplacement. Elle m’obsédait, je ne voilais aucune réponse à cette question. A quoi même y penser je ne la reverrais sans doute plus ou alors il me faudrait beaucoup de chance se qui entre nous, me manque terriblement en ce moment. Les jours passent les nuits suivantes cette obsession s’atténua. Nous voici le vendredi à 14h00, L’heure ou mon train venez me chercher pour me ramener chez moi pour le week-end. Comme a mon habitude je m’empresse de ranger ma valise au dessus de mon siège pour avoir encore quelques minutes afin de me griller la dernière cigarette avant ces 5h00 heures de trajet. Installer sur les marche du train je ferme les yeux pour me concentrer sur les douces paroles d’une chanson qui file entre mes oreilles. On dirai qu’elle chante pour moi. Je baisse mon regard pour jeter ma cigarette dans le caniveau de la voie, Soudain une voie me demande avec politesse de la laisser passer. Mon regard se lève et je m’écarte les yeux rivé sur ses lèvres. C’été elle, la femme au regard émeraude et a la jupe rouge. Elle prend le même train que moi à nouveaux et au plus beau des hasards elle c’été installé encore une fois sur la banquette a coté de la mienne. Les choses se passent comme un remake de l’épisode précédent sauf que cette fois ci au milieu du trajet nos regard ce sont croisés je vois sur le coin de sa bouche un sourire léger je lui retourne le même sourire timide. Quelque minute plus tard, alors que j’avais ouvert mon petit cahier à spirale, elle m’interpella en s’excusant pour me demander si j’écrivais. Je lui répondis simplement « oui » en ne sachant pas trop quoi lui répondre. Elle avait l’air de s’y intéresser à ce petit cahier car elle m’interrogea sur mon habitude d'écrire et sur ce que j’écrivais. C’est la que je fus quelque chose que je n’aurais jamais fais, je lui est prêter mon cahier a fin qu’elle puisse lire quelques textes. C’est la première fois que mon cahier connait des autres mains que les miennes. Je m’attendais à ce qu’elle lise quelques textes mais elle les lut tous un par un. Sa me flatta beaucoup, elle me dit qu’elle trouvait sa jolie, que c’été la première fois qu’elle avait lus un texte ou l’auteur y avais mis tous ses sentiments, ses peines et ses regret. Sans rien dire elle se leva cherchant quelque chose dans sa valise, qu’est ce qu’elle est belle, une longue chevelure brune avec des grosses boucle, des formes harmonieuses. Elle se rassoit, me tends le bras ou il y avait au bout un petit journal en cuire rouge fermé par un lacet doré avec au bout, un petit nœud bouclé avec soins. Je le pris elle me dit de lire quelque passage si j’en avais envie. Bien sur que j’en avais envie, c’est la première fois que l’ont me proposa de lire un journal. Sans même l’ouvrir je savais que ses lignes allaient me plaire, si sont journal été aussi finement tenue ses lignes devaient être pareil sa vas de sois. Je l’ouvris, dès le premier texte je ressentis ses émotions c’est comme si je la voilais au moment ou elle l’écrivait elle partageait tellement à travers ses lignes. Arrivé a la fin de sont dernier texte je fermai le livre et renouas le petit lacet doré avec autant de soins dont il a été noué et lui rendis en lui fessant comprendre a travers mon regard que ses mots me fessais rêver. Ont échangé quelques mots mais rien de plus la conversation été froide et monotone. A vrais dire on eu à peine le temps de ranger nos petits trésors que le train fus arrivé a destination. J’avais ma réponse, elle descend au même arrêt que moi. Ont se dit au revoir d’un regard lointain sans se demander si nous allons nous revoir un jour mais ça paraissais évident … Les jours passent et mes pensées fus comme a leurs habitudes tournaient vers elle. Un  soir alors que je revenais d’une soirée avec des amis j’ai été pris d’une envie soudaine de mettre a l’écris se que je pensais de cette femme au regard émeraude. J’ouvre mon petit cahier a spirale pour y noter ces quelques mots, en tournant les pages je remarque qu’il y avait des lettres, des mots mais une seule phrase écrite entre deux de mes textes, ce n’est pas mon écriture. C’été une écrite douce est sensuel cette phrase me surprends et me fige pendant plusieurs minutes. Elle à écris «  Hall de la gare 13 heures 30, Vendredi ». Que vais-je faire ? Vais-je y aller ou arracher cette page et faire comme si je n’avais jamais vus cette phrase ? Après plusieurs heures de réflexions je décide d’y aller a sont rendez vous. Après tout si elle a pris le risque de m’écrire ça ici c’est qu’elle tient beaucoup à me voir hors de ce train, je vais donc prendre mon courage a deux mains.  Vendredi arrive vite, nous voila au petit matin et a vous avouer j’ai déjà cette petite boule au ventre. Plus les heures passent plus je me demande ce que je pourrais lui raconter, je n’ais pas l’habitude je suis d’un timide glacial en général. Les 12 coups de midi résonnent dans la ville et je suis devant la gare. D’un pas fébrile je traverse ses grandes portes en verres. Je suis en avance j’en profite pour faire une sorte de « repérage » de la zone histoire de voir si je la croise avant si elle n’est pas seule je m’en vais. Mon cœur bats à la chamade il faut que je me calme, il me faut des cigarettes ! Ha ! Et puis des bonbons à la menthe pour cacher cette odeur dégoutante de tabac. Dans la file d’attente du bureau de tabac mon regard s’évade le temps commence à être long. Elle est là je la vois, je prends mes cigarettes et mes bonbons pour aller m’enfuir derrière un poteau en grès rouge. Elle n’était pas seule, elle marche en suivant un homme habillé d’un immense 3 quart noir et d’un épais chapeau melon, noir lui aussi. Ses chaussure résonnaient à chaque pas qu’il fessait, ils ne se parlent pas elle se contente de le suivre. Je les aie perdus de vus mais qui pourrai être cet étrange personnage ? Est-ce sont père ou peut-être même sont copain. Si ça l’est je me demande bien se qu’elle me veut, c’est complètement débile de donner un rendez-vous  à un inconnu et de venir avec sont copain. Je lui laisse le bénéfice du doute et puis si elle ne vient pas je la croiserais surement dans le train enfin, si elle s’installe a mes cotés…
Je sors pour me griller cette cigarette qui me fera le plus grand bien. Ces l’heure il est 13h30, je retourne dans ce hall si froid tous le contraire d’un endroit convivial. Personé a l’horizon je suis seul je laisse filer quelques dizaine de minutes je me dis qu’après tous avoir du retard sa arrive. Apres une demis heure d’attente je lâche l’affaire. Sa avais pourtant si bien commencé si elle serait venue sa aurai été encore plus beaux que dans n’importe qu’elle roman a l’eau de rose. Je traverse tout le train en espérant croiser sont regard mais en vain elle n’était pas la pourtant je l’avais bien vus je ne suis pas fou et je ne rêvais pas !